Un long, si long après-midi de Inga Vesper

polar-racisme-ségrégation-Amérique

Un autre livre s’ajoute à ma P.A.L (vocabulaire de blogueuse littéraire, vous avez noté ?!) et ce n’est pas n’importe lequel. C’est un polar un peu particulier qui se passe dans l’Amérique des années 50 : Un long, si long après-midi de Inga Vesper.

Quatrième de couverture :

Dans sa cuisine baignée de soleil californien, Joyce rêve à sa fenêtre. Elle est blanche, elle est riche. Son horizon de femme au foyer, pourtant, s’arrête aux haies bien taillées de son jardin. Ruby, elle, travaille comme femme de ménage chez Joyce et rêve de changer de vie. Mais en 1959, la société américaine n’a rien à offrir à une jeune fille noire et pauvre. Quand Joyce disparaît, le vernis des faux-semblants du rêve américain se craquelle. La lutte pour l’égalité des femmes et des afro-américains n’en est qu’à ses débuts, mais ces deux héroïnes bouleversantes font déjà entendre leur cri. Celui d’un espoir brûlant de liberté.

5 raisons de lire ce roman :

• C’est un premier roman époustouflant au cœur d’une Amérique asphyxiée par son sexisme et son racisme ordinaires (Babelio)
• C’est un roman-polar qui aborde les sujets de la ségrégation et du racisme
• Il parle de l’émancipation de la femme dans les années 50 aux Etats-Unis (époque où rien n’était joué pour elles !)
• Des airs de la série Desperate Housewives !!!
• Une couverture feel-good bien trompeuse…

Il vous tenterait ou vous l’avez peut-être déjà lu ?